Les premières notes font écho dans ma tête reposée sur ma tait et je suis libéré de la force exercé sur moi par les cordes de mon instrument de vie. 
Je n'ai pas besoin de substitue au bonheur, juste de cette foutue musique qui tourne en moi et qui m'envoie dans un tourbillon de sens. 
Ah que la vie est bien faite. 
quand je tourne le volume au paroxysme de la possibilité je rend mon esprit si sourd que je n'entend plus les éclaboussures de mes bouteilles jetées dans une mer d'acide bordée par des fleurs bourrées et spleenétiques. 
Ces fleurs du mal et de touts les vices exercent sur moi une pesanteur enivrante qui fait chavirer ma tête reposée sur ma tait. 
Mais à chaque fois que me viens l'orgasme de l'être, la musique ce coupe et un silence des plus dépriment ce fait. C'est alors que je pleur sur la tombe de ma personne car je meurs un peux chaque jours en voyant le monde tourner .